Construire sa maison de poupées

Joss Whedon… un nom qui possède une certaine notoriété au niveau cinématographique vu que le Monsieur est aux commandes d’Avengers (2012) et Avengers : L’Ere d’Ultron (2015). Comme scénariste, il a officié notamment sur Toy Story (si, si, en 1995) et La Cabane dans les bois (2012). Mais son nom résonne à travers les âges surtout pour ses créations de séries dont on peut citer la cultissime Buffy contre les vampires (1997 – 2003) et son spin-off Angel (1999 – 2004) mais aussi The Office (2007) Marvel : Les Agents du SHIELD (dès 2013) et Dollhouse qui nous intéresse ici.

La série sort sur les petits écrans via la chaîne FOX dès le 13 février 2009. Désireux de créer quelque chose de nouveau et d’inédit, Whedon se penche sur la quête de l’identité en créant l’univers de Dollhouse. Qui est-on réellement au fond de nous ? Que valons-nous ? Le créateur compare le point de base de la série avec celui de Frankenstein et pose ainsi certaines interrogations chères à l’être humain.

Plus fort encore, en se basant sur un scénario mélangeant la science-fiction, le drame et le thriller, il se pose la question de ce que cela pourrait donner si nous pouvions « vider » l’esprit d’une personne et la « remplir » avec une autre, permettant ainsi des possibilités quasi infinies. Quelles seraient les répercussions ? Le monde s’en porterait-il mieux ? C’est tout cela qui tourne dans la tête de Monsieur Whedon lors de la création de Dollhouse.

La série base donc son procédé sur le fait que des individus appelés des « réactifs » (ou poupées) sont vidés de leur personnalité, laissant ainsi de la place pour implanter de nouveaux personnages et/ou de nouvelles capacités. Ainsi, les clients de Dollhouse, tous blindés au possible, peuvent louer une personne avec des caractéristiques bien spécifiques. Qu’il s’agisse de passer une nuit de folie ou simplement de bénéficier d’une personne avec des aptitudes précises en cambriolage ou en cuisine, rien n’est impossible pour les dirigeants de Dollhouse

Joss Whedon a donc construit cette maison de poupées et l’y a placé certains de ses acteurs fétiches comme Eliza Dushku, Amy Acker ou encore Alexis Denisof. Malgré une idée originale et des acteurs qui en valent la peine, la FOX est tendue ; les audiences ne sont pas au rendez-vous durant la première saison et c’est uniquement grâce aux enregistrements numériques et à la VOD que la seconde saison voit le jour. Celle-ci sera, déjà, la dernière.

Les thèmes abordés rendent également la chaîne un peu frileuse ; marché du sexe, quête identitaire profonde, effondrement potentiel de la société via la technologie, lavage de cerveaux et effacement de mémoire sont quelques sujets parfois un peu sensibles. Comme l’a dit Whedon : « … la chaîne FOX a voulu l’enlever de sa programmation cinq minutes après l’avoir acheté… ». Pas facile de continuer une saga dans ces conditions… même si cela commençait à devenir extrêmement intéressant.

Pourtant, malgré quelques points sérieusement négatifs, cette série a eu le culot (carrément) de faire ce que d’autres n’avaient pas fait avant ; me laisser sur une certaine faim malgré un final réussi. Nous allons donc visiter cette maison de poupées et découvrir qui y vit pour en apprendre un peu plus sur Dollhouse, souvent entendue mais peu regardée.

La critique parlant de l’intégralité des deux saisons de la série, des spoilers relativement conséquents sont de mise.

"Quel nom lui donner ? Annabelle ? Barbie ? Echo ?"

Afin de pouvoir tenir le cap d’une telle série, Joss Whedon fait appel à Eliza Dushku pour le rôle principal d’Echo, une jeune femme se retrouvant à l’état de poupée dans Dollhouse et se découvrant des capacités exceptionnelles. L’actrice a déjà fait ses preuves avec Whedon dans sa série Buffy contre les vampires où elle campait le rôle de Faith. Personnage à tiroir, tiraillé entre Echo (son stade de poupée), Caroline (sa vraie personnalité) ou encore les quelques dizaines d’autres qu’elle possède dans sa tête, Eliza nous livre une sympathique performance qui va grandement aider au suivi de la série. Recherchant avidement qui elle est au fond, elle va remettre en question chacun des choix de Dollhouse tant ses capacités sont impressionnantes… et tant son passé obscur est intimement lié à l’avenir de cette puissante société.  

Après avoir notamment fait un petit tour dans deux opus de la trilogie Matrix, Harry Lennix joue ici le rôle de Boyd Langton. Ancien policier engagé par Dollhouse, il devient dans un premier temps le protecteur d’Echo. Puis, au fil des épisodes, il grade jusqu’à responsable de la sécurité de l’entreprise. Personnage charismatique ayant réellement de l’empathie pour autrui, il donnerait sa vie pour protéger Echo quelque soit son statut. De plus, il s’agit ici d’un rôle avec un potentiel bien plus important que ce que l’on pourrait croire au départ.

Pour une touche de folie dans la série, on peut compter sur Fran Kranz. Après avoir tourné avec entre autre M. Night Shyamalan dans Le Village, il occupe ici le poste de Topher Brink. Véritable génie, ingénieur que rien n’arrête et spécialiste du cerveau humain, son comportement décalé apporte une certaine fraîcheur à quelques situations parfois tendues. Possédant tout de même une part d’ombre, le personnage est traité admirablement d’un bout à l’autre de la série et se trouve être interprété avec brio.

Que serait une série américaine sans un agent du FBI ? C’est ici le rôle tenu par Tahmoh Penikett (Battlestar Galactica) alias Paul Ballard. Enquêteur assidu souhaitant plus que tout prouver l’existence de Dollhouse, il finira par travailler pour la maison de poupées dans la seconde saison. Un parcours quelque peu chaotique, quelques réactifs sur sa route et il se retrouve aux prises avec l’ennemi qu’il a cherché à coincer depuis des années. Personnage faisant le lien entre le commun des mortels et Dollhouse, l’acteur se débrouille bien malgré quelques élans de nonchalance çà-et-là.

Enver Gjokaj, un habitué des séries depuis son passage dans Dollhouse, est le réactif Victor. Ancien soldat ayant rejoint l’entreprise pour effacer ses souvenirs de guerre, il s’avère être un personnage pivot dans la série. Présent dans de nombreux rôles suivant ses attributions, éperdument amoureux de la belle Sierra, son optimisme et son regard perdu lors de ses passages en poupée permettent à cet acteur de bien considérer son rôle et de nous faire passer, à chaque fois, de bons moments.

Sierra est interprétée par Dichen Lachman. Fuyant un passé tumultueux où un riche psychopathe se croyant tout permis l’a réduite à l’état de folle psychotique, elle est une réactive relativement passive dans la première saison. Cependant, elle prend un essor particulier par la suite, notamment par sa relation avec Victor qui va remettre en question l’identité même des poupées à leur stade primaire. Actrice parvenant à se fondre dans ses rôles, elle intéresse tant par son interprétation que son histoire.

Avec une carrière cossue démarrée en 1997 dans Postman de Kevin Costner, Olivia Williams joue ici Adelle DeWitt, la responsable de l’entreprise Dollhouse de Los Angeles. Femme de caractère et de pouvoir, elle ne se laisse pas impressionner par le premier venu et tient son affaire d’une main de fer. Personnage ambigu, on apprécie de le détester par moment et on le prend carrément en pitié l’instant suivant. Et puis, est-ce vraiment un écart professionnel que de profiter des prestations que l’on vend aux clients ?

On peut également citer la présence d’Amy Acker, déjà présente dans Alias et Angel. Médecin de Dollhouse, elle se trouve être bien plus complexe que ce que l’on pourrait envisager. Reed Diamond affectionne particulièrement les seconds rôles et se retrouve ici en tant que chef de la sécurité nommé Laurence Dominic. Implacable, parfois agaçant, on le retrouve en pleine forme comme invité durant la saison 2. La réactive November est jouée par Miracle Laurie et se trouve être un personnage attachant voire dangereux si on lui parle de fleurs. Pour parfaire le tableau, Alan Tudyk, déjà présent dans Firefly de Joss Whedon, interprète le terrible Alpha. Réactif ayant accumulé plusieurs dizaines de personnalités dans son cerveau, sa dangerosité n’a d’égal que son goût pour le scalpel. Un personnage que l’on aurait apprécié voir sans doute un peu plus.

Je pense nécessaire de préciser la présence de Mark Sheppard dans le rôle de l’agent Tanaka, bien loin de son personnage de Crowley dans Supernatural mais ô combien ça fait plaisir de le retrouver quelques instants ; Keith Carradine en patron temporaire de Dollhouse qui parvient toujours autant bien à porter le costard ; la magnifique Felicia Day, présente dans les épitaphes de la série, crève toujours autant bien l’écran ; et Alexis Denisof, habitué de Joss Whedon, en sénateur possédant un bien lourd secret.

Avec une équipe comme celle-là, on ne peut partir que vainqueur, me direz-vous. Alors oui, les interprétations sont tout à fait à la hauteur de ce que l’on peut attendre. Il n’est pas évident de jouer un réactif de par son absence d’émotions concrètes et il est encore plus complexe de se glisser dans différents rôles au fil de la série. Néanmoins, qu’il s’agisse de poupées ou d’humains standards, tous parviennent à rester dans les clous et nous offrir des moments de télévision qui vont en s’intensifiant au fur et à mesure de l’avancée de la série.

On vous implante un arc narratif ?

On peut implanter différentes personnalités dans les réactifs ayant été vidés de leur identité propre. Besoin d’une call-girl super sexy pour la nuit ou d’une femme le temps d’une journée pour croire que l’on vit une vie de rêve ? Pas de souci pour Dollhouse qui, moyennant finances, implante tout et n’importe quoi dans ses réactifs. On pourrait penser que les choses s’arrêtent là et que l’on va juste assister à des épisodes avec un réactif et une nouvelle mission mais Joss Whedon va plus loin.

Que serait-il possible de faire avec ce système d’implantation ? Plusieurs hypothèses sont explorées. Un épisode va par exemple mettre en scène Echo a qui l’on transfère la personnalité d’une amie d’Adelle récemment décédée dans le but de pouvoir élucider son meurtre. Afin de se sauvegarder de la mort, les plus puissants dirigeants font des copies informatiques d’eux même. Ils peuvent donc, en cas de décès, transférer leur conscience dans un nouveau corps tout neuf. La possibilité de devenir qui l’on veut et l’attrait de la vie éternelle sont deux pans présents dans le scénario.

Ce dernier va donc s’étaler sur seulement deux saisons. Durant la première, c’est surtout la présentation des personnages et la découverte du monde de Dollhouse qui vont être explorés. Je dois l’avouer, cette saison a de la peine à passer. L’impression lors du visionnage des premiers épisodes revient à un plongeon dans une piscine glacée ; c’est désagréable et on met du temps à s’habituer à la température. Cela est principalement dû au fait que nous nous retrouvons dans un contexte totalement inconnu et que nous devons quelque peu ramer pour comprendre les tenants et aboutissants dès le départ. De plus, les épisodes de 50 minutes semblent parfois longuets et le format ne correspond pas à ce dont nous avions l’habitude. Ah, c’était la fin des années 2000, quoi !

Puis, en fin de saison, cela s’arrange. La mythologie commence de se poser, les personnages prennent une importance moins relative et on nous déroule les enjeux pour la suite en nous faisant presque saliver. Puis, arrive le visionnage de la seconde saison. 

Et là, coup de théâtre ! Plus la saison avance, plus notre intérêt grandit. Les personnages deviennent plus profond, les intrigues plus fournies et les conséquences plus graves. La mythologie est clairement en place et on se fond dans la masse avec une avidité déconcertante. L’antépénultième épisode nous colle carrément un dressage de poils grâce à des révélations tonitruantes et une mort soudaine et atroce d’un des personnages. Et que dire de l’épisode 12, concluant l’arc narratif de la série principale ? Simple, efficace, clôturant cet axe avec clarté et professionnalisme.

En cours de saison deux, nous avons droit à plusieurs révélations pas piquées des hannetons qui vont nous mettre tantôt dans un état d’euphorie légère, tantôt dans un état de panique intense. Pour l’euphorie, on peut noter la révélation du grand patron de la société Rossum (armement, recherche, neurologie, une société blindée) ou l’antépénultième épisode qui me colle toujours à la peau. Pour l’état de panique intense, c’est la découverte de ce qu’est le Grenier, là où l’on remise les poupées qui ne peuvent plus être réparées. Un endroit cauchemardesque (littéralement) et une mise en boîte très évocatrice des réactifs terminant dans cet endroit. 

Les deux saisons bénéficient de deux derniers épisodes appelés des épitaphes. Celui de la première saison est pénible à comprendre dans son déroulement et ce n’est pas la présence de Felicia Day qui change le fait que l’on se retrouve un peu perdu. Ce n’est pas le cas du tout dernier épisode de la série qui va conclure magistralement le tout avec une fin cohérente et pleine de réflexions. Mais j’y reviendrai.

Le scénario mêle donc habilement science-fiction, espionnage et thriller sans en faire des tonnes et réglant le tout avec parcimonie. Certains épisodes sont un peu plus soporifiques que d’autres, mais dans l’ensemble, et particulièrement pendant la seconde saison, on sent un souffle nouveau nous arriver en plein dans la gueule pour commencer à réellement apprécier cette série… et les différentes vies qui y sont présentées.

Dollhouse, immorale ?

Seulement deux saisons pour une série avec un potentiel quasi-infini ? Que s’est-il passé ? Selon M. Whedon, la FOX n’a jamais réellement voulu de cette série. Il va s’en dire également que la première saison, plus poussive et alourdie d’épisodes plus longs n’a pas enthousiasmé les foules d’aller voir plus loin. Cependant, le côté moral de la série pourrait apporter quelques réponses. Grattons un peu la surface…

Dollhouse a fait parler d’elle notamment sur son thème central et n’ayons pas peur des mots ; le trafic d’êtres humains. On prend des individus qui n’ont plus rien à perdre (terroriste écolo, soldat en syndrome post-traumatique, psychotique avérée, etc.), on les vide entièrement de leur identité et on les utilise pour placer, à loisir, d’autres options. De véritables briques de jeu de construction où les possibilités sont infinies… et peuvent satisfaire pratiquement toutes les demandes des clients.

L’aspect prostitution est effectivement présent dans Dollhouse (‘faut voir Eliza Dushku toute de cuir vêtue !), mais il reste relativement en second plan même si les nombreuses « missions » d’Echo sont placées dans la catégorie « Romance ». Faut pas me prendre pour un bleu ; quand on initialise le cerveau de quelqu’un pour un client souhaitant une soirée « romantique » et que ledit client lâche quelques centaines de milliers de dollars, ce n’est pas juste pour faire péter le champagne.

Donc l’aspect est bien présent et Joss Whedon souhaitait creuser la recherche identitaire non pas par le biais de manipulations complotistes à haute échelle, mais en cherchant à fournir des explications plus précises sur les désirs des clients de Dollhouse. Cela n’a pas dû être du goût de la FOX qui s’est empressée de demander un scénario plus centré sur l’espionnage que sur l’aspect parfois tordu des clients de cette société si particulière.

Comme le soulignait Whedon dans une interview, le concept même de la base scénaristique américaine peut très bien tolérer une série dans laquelle des personnes sont réduites à l’état de poupées, mais cela commence de poser un sérieux problème si un trop grand aspect sexuel est de la partie. Même si le créateur ne souhaitait pas explicitement en montrer plus, l’idée d’en savoir plus sur les clients de Dollhouse semblait de trop.

On ne peut donc pas dire que Dollhouse ait été annulée après seulement deux saisons simplement sur ce fait, vu que d’autres séries font plus fort, vont plus loin et osent carrément baser leur thème scénaristique là-dessus, celles-ci fonctionnant très bien. Ce qui est arrivé à Dollhouse, c’est une cascade de petits soucis (longueur, rythme de la première saison, froideur de la FOX) qui ont amené à n’avoir que deux saisons au lieu d’un florilège plus cossu sur la recherche d’identité, le tout armé d’un solide scénario combinant espionnage, traîtrise et complots. Ben voilà…

Implantation réussie

Malgré une première saison un peu mitigée sur plusieurs points, on commence carrément à y croire à partir du début de la seconde et on active le mode « C’est déjà fini ? » après le dernier épisode de la série. Dollhouse est sans doute une série sortie trop tôt, dans un contexte où il valait mieux simplement divertir les gens que de les pousser à une certaine réflexion.

Car, comme à la manière des poupées dans la série, le spectateur assiste non seulement à la débauche et aux dangers que pourraient donner un tel procédé, mais se retrouve également à se poser des questions sur lui-même. Ne serait-ce pas pratique de se faire vider la cervelle pour la remplir uniquement de ce que l’on souhaite ? Mais au fond, que souhaitons-nous ? Est-ce que un grand pouvoir implique de grandes responsabilités ?

A l’instar d’Echo, ayant finalement la capacité de combiner ses différentes personnalités pour utiliser leurs avantages au besoin (dont certaines feraient pâlir un œuf dur), le spectateur se demande de quel côté il aurait basculé. Userions-nous de ces capacités pour aider les autres… ou nous aider nous-mêmes ? Echo, elle, a fait son choix.

Car la série se termine sur une note poétique et dramatique à la fois. Echo se rend alors compte que malgré tout son pouvoir, malgré les dizaines de personnalités et les centaines de capacités qui lui trottent littéralement dans la tête, elle se retrouve irrémédiablement seule. La dernière image de la série, très évocatrice, prouve qu’elle est la dernière de sa carrure, la dernière poupée.

Alors oui, j’ai eu de la peine à m’immerger dans le monde de Dollhouse. La première saison n’a pas été facile et même si les épisodes se laissent regarder, c’est uniquement le regain d’énergie déployé en fin de saison qui m’a fait dire qu’il y avait sans doute quelque chose à gagner. C’était tout bénéfice car la série se termine comme il se doit, boucle les boucles nécessaires et laisse le spectateur à ses propres réflexions.

Mes amis, crochez le visionnage de la première saison car la suite vaut le coup. Avec un total de 26 épisodes, ce n’est pas une série très longue mais elle peut permettre de débattre sur la quête d’identité, la déchéance technologique de l’ère humaine et les dégâts que peuvent impliquer l’utilisation d’un pouvoir trop grand pour nos petites têtes. Et puis, en plus, c’est carrément l’occasion de revoir Eliza dans ses œuvres ! Si vous aimez les thrillers technologiques, les séries à complots et les implantations douteuses, vous ne serez pas déçus.

Bon, ce n’est pas tout ça mais moi, il faut que j’aille me vider la tête.

Anecdotes

La société Rossum dans la série, supervisant les activités de Dollhouse, tient son nom d’une pièce de théâtre sortie en 1920 de Karel Capek intitulée Rossum’s Universal Robots, une histoire traitant de robots à l’apparence humaine.

Dans les autres séries créées par Joss Whedon, les noms des différents personnages principaux apparaissent dans le générique de début. Ici, il n’y a que l’actrice principale ; Eliza Dushku.

La musique du générique a été spécialement écrite par Eric Bazilian et interprétée par Jonatha Brooke. Son titre est What You Don’t Know.

Tous les noms des réactifs proviennent de l’alphabet radio international : Echo, Sierra, Victor, Alpha, November (tient, on n’a pas vu Tango…).

Derniers commentaires

13.06 | 05:23

Merci pour le concours

03.04 | 19:28

Merci, bonne soirée à tous. 😊🍀

22.03 | 14:38

super

22.02 | 21:57

En effet cher Critiker 😉 très bonne critique du film, qui me rappelle une discussion... devant la salle du ciné 😅 Mark Wahlberg si j'ose (il manque pas d'air le Beep... Enfin si, mais là c'est Mark)😱

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